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Geoffroy is an essential and still emerging voice in Canadian music. Now three LPs into a career that has solidified him as one of Quebec's best artists, the Montreal-born songwriter and producer takes the next step internationally with the release of fourth full-length Good Boy. Almost 10 years removed from his first release, this project was sparked with the intention of creating Geoffroy's most authentic work to date, blending organic instrumentation and electronic elements into a bright and rich album filled with diverse sounds, a collection of songs that moves beyond the brooding depth that has defined recent works. Here there is room for an atmosphere of light, appreciation, and well-being. Music for warm days and nights, imbued with rich experiences for those who immerse themselves. The album is the latest in a stellar run of LPs, including debut Coastline (2017), 1952 (2019) and Live Slow Die Wise (2022). Each album has reflected a different tone and period in the artist's life and his evolution and experimentation with different sonic pallets. In this case, Good Boy sees Geoffroy look back and collaborate with longtime production partners Clément Leduc and Gabriel Gagnon, but also incorporate a diverse collection of new background musicians and singers that brings the album to life in vibrant colour. That diversity was driven by a gradual shift in Geoffroy's influences, having spent recent years immersing himself in the worlds of Cumbia music and a range of other latin and African rhythmic styles, that melded with his traditional singer-songwriter form to create something that feels truly international. In fact the record's narrative was inspired by a trip to Mexico where he befriended - and ultimately adopted - a shelter dog named Papi, bringing him from the streets of Mexico City to Montreal. Papi serves as the mascot for the LP, but more importantly acts as an overarching metaphor for being lost, but ultimately found. Asked to reflect on the change in perspective that accompanied the transition from his previous musical era into this one, Geoffroy spoke to the clarity he experienced in terms of his own agenda in the creation of music. "Live Slow Die Wise had a slower pace and I was eager to step away from the nostalgia and melancholy I had visited and analyzed plenty in the past," Geoffroy reflects. "I did what felt natural, a feel-good album (I think) that shed the weight of the other ones. I feel I'm getting closer to the sound I'm looking for, though I might be chasing something that's faster than me."
Geoffroy est une voix incontournable de la musique émergente canadienne. Forts de trois albums qui l'ont hissé au rang des meilleurs artistes sur la scène québécoise, l'auteur-compositeur-interprète montréalais est fin prêt à lancer son quatrième album studio, Good Boy. Près de 10 ans après la sortie de son premier opus, Geoffroy nous propose aujourd'hui son projet le plus authentique à ce jour: un brillant amalgame d'instrumentations organiques et d'éléments électroniques, une collection de chansons aux sons riches et diversifiés qui s'éloignent de l'atmosphère mélancolique qu'on lui connaissait ces dernières années. Le résultat est un univers lumineux, propice à la contemplation et au bien-être. Une trame sonore pour les jours ensoleillés et les douces nuits d'été, qui recèlent des surprises pour qui s'y plonge. Ce quatrième ouvrage est le dernier d'une série d'albums acclamés Coastline (2017), 1952 (2019) et Live Slow Die Wise (2022), chacun le reflet d'une période de la vie de l'artiste, de son évolution et de ses expérimentations avec différentes palettes sonores. Dans Good Boy, Geoffroy renoue avec ses collaborateurs de longue date, les réalisateurs Clément Leduc et Gabriel Gagnon. L'artiste s'est également entouré d'un nouveau groupe hétéroclite de musiciens et de chanteurs qui donnent vie à l'univers coloré de l'album. La trame narrative de l'album s'inspire d'un voyage à Mexico en 2022 où Geoffroy est tombé, par hasard, sur un chien qu'il a nommé Papi et qu'il a finalement adopté puis ramené à Montréal. Papi est devenu la mascotte de l'album, mais surtout, la métaphore centrale du projet, soit le sentiment d'être perdu puis retrouvé. Lorsqu'on lui a demandé de nous parler des réalisations qui ont nourri sa transition vers ce nouveau chapitre musical, Geoffroy a mentionné la clarté qu'il ressent par rapport à sa vision créative de l'avenir. « Le rythme était plus lent dans Live Slow Die Wise. Dans Good boy, je voulais m'éloigner de la nostalgie et de la mélancolie que j'ai passé beaucoup de temps à ressasser et à analyser dans le passé, » explique Geoffroy. « J'ai fait ce qui me semblait naturel: un album feel good, plus léger que les précédents. J'ai l'impression de me rapprocher du son que je recherche, mais ça se peut aussi que je sois en train de courir après quelque chose qui va beaucoup plus vite que moi. »